Malko était étroitement ligoté sur le lit à l'aide de sangles de toile et d'une sorte de camisole de force. Un appareil étrange était posé sur son visage : une espèce de cagoule de cuir souple, tenue par des lacets, couvrait son nez et sa bouche. Des trous minuscules permettaient à l'air de passer. Il respira profondément. Le picotement glacial et âcre de la cocaïne pénétra ses narines. On était en train de le droguer à mort. De le tuer scientifiquement.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.